Articles Journaux internationaux et nationaux
Ci dessous vous trouverez des liens vers les articles provenant de grands quotidiens français et malgaches concernant cette affaire :
|
Tentative d'assassinat Natacha Barday libérée
La Cour d'appel d'Antananarivo a rendu sa décision. Natacha Barday, ressortissante française âgée de 33 ans, a recouvré la liberté, hier, après deux mois de séjour à la maison centrale d'Antanimora. Elle quittera bientôt le pays pour rejoindre sa famille installée en France.
«Il s'agit désormais d'obtenir sa mise hors de cause», déclare Me Philippe Gumery, un des avocats de Natacha Barday, à l'AFP. «La Chambre de détention de la Cour d'appel d'Antananarivo n'a pas astreint ma cliente à un contrôle judiciaire. Elle est donc libre de ses mouvements», poursuit-il.
En décembre 2006, Riaz Barday, époux de l'inculpée, a été expulsé de la Grande île, à la suite d'un conflit d'intérêts économiques. Natacha Barday, accompagnée de ses deux enfants, a cependant souhaité rester à Madagascar jusqu'à la fin de l'année scolaire.
(Article de "L'express Madagascar" du mardi 14 Août 2007)
Stéphane Solofonandrasana
Date : 14-08-2007
"Natacha Barday recouvre la liberté" :
(Article de Clicanoo.com du mardi 14 Août 2007)
"Une française détenue à Madagascar remise en liberté"
(Article de RTL Info du lundi 13 Août 2007)
"À Madagascar, Natacha Barday retourne en prison"
Le ministère de la Justice de Madagascar a demandé la réincarcération de cette Française de 32 ans qui crie son innocence après sa mise en examen pour complicité de tentative de meurtre.
L'affaire Natacha Barday s'enlise. Le ministère de la Justice de Madagascar a demandé la réincarcération de cette Française de 32 ans qui crie son innocence après sa mise en examen pour complicité de tentative de meurtre. Natacha Barday a été hospitalisée pendant dix jours à Tananarive après des analyses montrant une « lésion du myocarde faisant craindre un infarctus ». Une évacuation sanitaire a été refusée à la famille qui s'alarme désormais des conditions de détention : une cellule collective de 50 détenues sans qu'un suivi médical soit garanti.
Fin juin, la jeune femme, entendue par la juge d'instruction, a de nouveau nié être à l'origine d'une tentative d'attentat commise contre Gilbert Dailly, homme d'affaires français lui aussi expatrié. Selon l'accusation, Mme Barday aurait commandité l'opération et l'un des tireurs serait un employé de la société familiale. Mais, selon la défense, des expertises téléphoniques ont montré qu'il ne pouvait pas être présent sur les lieux.
Selon Riaz Barday, le mari de Natacha, ce sont les intérêts économiques français qui sont visés à travers lui. Il raconte que suggestion lui est faite d'« abandonner » les investissements qu'il a lancés sur place depuis 1981 au travers de sociétés d'aviation, de tourisme et de finances qui emploient 4 500 salariés. « Aujourd'hui, dit-il, il y a clairement un chantage avec ma femme comme otage. »
L'avocat de la famille, Me Gumery, lance, lui, un appel à Nicolas Sarkozy : « Il faut arrêter de maltraiter une concitoyenne alors que le dossier judiciaire est vide. »
(Article du "Lefigaro.fr" du lundi 12 juillet 2007)
"Une Française emprisonnée pour crime à Madagascar"
Natacha Barday, 32 ans, est accusée d'avoir commandité un attentat contre un autre Français. Elle se dit innocente et victime de rivalités financières entre expatriés.
ELLE avait découvert Madagascar en cartes postales. Adolescente, elle y passait ses vacances, guidée par son père, un industriel de l'Oise...
(Article du "Lefigaro.fr" du lundi 15 juin 2007)
Par MATHIEU DELAHOUSSE.
"Natacha Barday : Son emprisonnement est-il une affaire d'Etat ?"
(Article du "Madagascar Tribune" du mardi 10 juillet 2007)
"Affaire Natacha Barday : Sur l'émission Sept à Huit de TF1"
(Article du "Madagascar Tribune" du lundi 02 juillet 2007)
*Reportage l'émission Sept à Huit de TF1
"Française détenue à Madagascar : les avocats demandent l'intervention du président de la République"
Le Quai d'Orsay a demandé officiellement vendredi dernier au gouvernement malgache d'hospitaliser une Française détenue depuis un mois à Madagascar où elle est accusée d'avoir commandité la tentative d'assassinat d'un compatriote, a indiqué lundi son avocat, Me Philippe Gumery, à l'Associated Press.
Le père et le mari de Natacha Barday, reçus jeudi dernier avec leur avocat par le directeur de cabinet du ministre des Affaires étrangères, avaient saisi la diplomatie française de cette demande.
«Il faut à tout prix qu'elle sorte. Si les autorités politiques françaises ne se manifestent pas vis-à-vis de leurs homologues malgaches, elle risque de rester longtemps en prison", souligne Me Gumery. "Elle est victime d'une machination montée contre son mari », assure-t-il. La justice malgache soupçonne Natacha Barday d'être à l'origine de la tentative d'assassinat dont a été victime l'homme d'affaires français Gilbert Dailly, un ex-associé de son mari, Riaz Barday.
L'association entre les deux hommes pour la reprise d'un hôtel de luxe à Nosy Be a tourné court, et au litige commercial. Riaz Barday a été expulsé mi-décembre 2006 de Madagascar.
Le 11 avril, Gilbert Dailly, installé à l'arrière de sa voiture conduite par son chauffeur, essuie deux coups de feu sans être atteint. Il porte plainte et désigne un collaborateur de Riaz Barday comme étant le probable auteur des coups de feu.
Le 21 mai, Natacha Barday est interpellée, son portable ayant reçu avant et après la tentative d'assassinat deux appels de l'employé de son mari. «Pour la police, si l'exécutant supposé connaît ma cliente, cela veut dire qu'elle est le commanditaire», s'emporte Me Gumery, assurant que le « dossier est vide ».
Mère de deux enfants de quatre et sept ans, Natacha Barday est incarcérée à la prison pour femmes d'Antananarivo, dans une cellule de 18m2 où s'entassent une cinquantaine de personnes.
Sa défense a pu prouver, grâce aux relevés de localisation téléphonique, que le tireur désigné se trouvait à plus d'une vingtaine de kilomètres du lieu de l'agression.
La justice malgache a refusé à trois reprises les demandes de remise en liberté de Mme Barday, comme son transfert à l'hôpital. (AP)
(Article du "Nouvel OBS" du lundi 06 juillet 2007)
"Le Quai d'Orsay intervient en faveur d'une Française détenue à Madagascar"
Les avocats d'une Française détenue depuis plus d'un mois à Madagascar et hospitalisée voilà une semaine, ont écrit vendredi au chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy, pour lui demander une "intervention politique" afin de faciliter sa libération.
Natacha Barday est accusée par la justice malgache d'avoir commandité la tentative d'assassinat d'un homme d'affaires français. Incarcérée le 21 mai, elle a été hospitalisée le 29 juin à la suite de la dégradation de son état de santé.
Dans leur courrier au président de la République, ses deux avocats, Me Philippe Gumery et Anne-Philippe de La Giraudière, soulignent que l'état de santé de Mme Barday «devient extrêmement préoccupant», les dernières analyses mentionnant «un fort risque d'infarctus du myocarde».
Le père et le mari de Natacha Barday ont été reçus le 21 juin avec leurs avocats par Philippe Etienne, directeur de cabinet du ministre des Affaires étrangères et sollicitent un entretien auprès du président de la République. «Nous sommes convaincus à présent que Natacha Barday, mère de deux enfants en bas âge, ne pourra recouvrer la liberté qu'à la seule faveur d'une intervention politique au premier niveau», écrivent les deux avocats.
La justice malgache soupçonne Natacha Barday d'être à l'origine de la tentative d'assassinat dont a été victime l'homme d'affaires français Gilbert Dailly, un ex-associé de son mari, Riaz Barday. L'association entre les deux hommes pour la reprise d'un hôtel de luxe à Nosy Be a tourné court, et au litige commercial. Riaz Barday a été expulsé mi-décembre 2006 de Madagascar.
Le 11 avril, Gilbert Dailly, installé à l'arrière de sa voiture conduite par son chauffeur, essuie deux coups de feu sans être atteint. Il porte plainte et désigne un collaborateur de Riaz Barday comme étant le probable auteur des coups de feu.
Le 21 mai, Natacha Barday est interpellée, son portable ayant reçu avant et après la tentative d'assassinat deux appels de l'employé de son mari. Sa défense a pu prouver, grâce aux relevés de localisation téléphonique, que le tireur désigné se trouvait à plus d'une vingtaine de kilomètres du lieu de l'agression. AP
(Article du "Nouvel OBS" du lundi 25 juin 2007)
"Une Française sous les verrous"
Nous sommes 50 dans la chambre, entassés comme des bêtes, c'est impossible de dormir avec les cafards qui nous montent dessus." Natacha Barday est emprisonnée depuis le 21 mai à Madagascar. Cette Française de 35 ans, ancienne mannequin, mère de deux enfants, est accusée d'avoir commandité une tentative d'assassinat sur un homme d'affaires lui aussi français. "Ma cliente est l'otage d'un règlement de comptes politico-commercial, s'insurge Me Philippe Gumery. A travers elle, on cherche à anéantir son mari ." "...Le dossier est vide, aucun élément matériel n'accuse ma cliente. "Pourtant, trois demandes de remise en liberté ont été refusées coup sur coup. Contactées par Le Point, les autorités malgaches n'ont pas souhaité faire de commentaires..."
(Arcticle de "lepoint.fr" du jeudi 14 juin 2007)
"Accusée de complicité de tentative d'assassinat, Natacha Barday est détenue depuis trois semaines."
«Une erreur judiciaire, qui comme celle-là dure depuis trois semaines, devient une bavure antifrançaise», déplore Me Gumery, avocat de Natacha Barday, détenue à Madagascar depuis le 21 mai. Cette française de 33 ans est soupçonnée de complicité de tentative d'assassinat sur Gilbert Dailly, un influent homme d'affaires local. Pourtant, ses proches et son avocat dénoncent un dossier d'instruction infondé, alambiqué et contradictoire.
(Article de "libération.fr" du jeudi 14 juin 2007)
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 4 autres membres